Cornelia FRANZPascal LAURENTSylvia GEHLERT (Traducteur)Une piste qui mène à ChicagoÉpuiséDès 12 ansAdolescentTout avait changé. Il n'y avait plus rien qui puisse me consoler. Quelque part, plantée au plus profond de moi, une épine ne cessait de raviver ma douleur : je n'étais qu'une enfant adoptée. Je n'avais plus personne. À part cette femme si pâle qui se tenait près de moi et n'osait pas me regarder dans les yeux. Cette femme était ma mère. Ma vraie mère.