Longtemps enseignante, Jeanne Benameur se consacre désormais à l’écriture. Elle publie chez Actes Sud Laver les ombres et Les Insurrections singulières. Son dernier roman Profanes (2013) a obtenu le Grand Prix RTL-LIRE. Chez Actes Sud Junior, elle crée en 2007 avec Claire David la collection “D’une seule voix”. Elle est également auteur aux éditions Thierry Magnier (dernier paru : Pas assez pour faire une femme, 2013).
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Susie MORGENSTERN Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Tes seins tombent Une grand-mère et sa petite fille de treize ans en vacances. Elles partagent la même petite chambre, la moitié du lit, mais pas la parole. Chacune est une énigme pour l'autre, le monde des ados face aux inquiétudes du temps qui passe... Un monologue tendre et drôle sur la force du lien entre générations. |
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Bernard FRIOT Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Rien dire C'est au tour de Brahim de passer l'épreuve de “mise en situation”. Mais comment parler de soi quand on pense n'avoir rien à dire ? Et avec quels mots, dans quel langage ? Le monologue intérieur de Brahim incarne la confusion adolescente d'aujourd'hui comme sa soif de reconnaissance. |
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Jeanne BENAMEUR Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Le ramadan de la parole En 1920, une jeune fille refuse de porter le corset. De nos jours, blessée par l'attitude irrespectueuse des garçons, une ado décide de faire le “ramadan de la parole”. Une troisième se révolte contre sa mère qui a vendu son corps pour une affiche publicitaire. Trois portraits et trois messages de combat pour la liberté des filles. |
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Jean-Philippe BLONDEL Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Un endroit pour vivre On a beau être un lycéen timide, réservé, il y a des règlements arbitraires qui ne passent pas comme de vouloir interdire aux corps de “se frotter”. Caméscope au poing, en maître de ballet, un ado filme et raconte son lycée pour ce qu'il est aussi : un lieu de vie, d'amitié, de haine comme d'amour. |
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Cathy YTAK Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Pas couché Non, Manon n'a pas couché avec Timothée ! L'amitié entre fille et garçon, sans embrouilles et sans larmes, ça existe. Manon le clame haut et fort, même si les autres ne peuvent, ne veulent pas comprendre. Pourtant, le doute finit par s’installer chez elle : ravages des rumeurs et des idées reçues, malentendus, peur de se perdre et désir confus de l'autre... Un texte tendre sur les ambiguïtés de l'amour et de l'amitié. |
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Frédérique DEGHELT Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Cassée Une mauvaise chute de cheval et le sentiment pour Lily d'une vie qui s'éffondre. L'insouciance fait soudain place à la douleur puis l'abattement ; des vacances fichues à dépendre des autres, un bras immobilisé. Mais peu à peu, Lily découvre la patience et le courage auprès de son petit frère handicapé. |
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Thomas SCOTTO Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Ma tempête de neige Les confidences rêvées d'un futur père à son enfant. Un monologue tendre et surprenant sur le désir de parternité, même quand on a dix-neuf ans et qu’on est toujours sur les bancs de la fac. Et même si le monde entier pense que ce n’est pas raisonnable. |
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Cathy YTAK Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Rien que ta peau Parce qu'elle a été une enfant à problèmes, qu'elle est lente, immature, Ludivine n'aurait pas droit à l'amour et au plaisir ? Le secret de sa rencontre avec Mathis, le bonheur scandaleux de sa première fois lui appartiennent. Rien ne saurait saccager leur histoire. Quitte à le hurler, pour ne pas oublier. |
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Irène COHEN-JANCA Jeanne BENAMEUR (Directeur de collection) Arrête de mourir Comment faire à dix-sept ans avec une mère qui s'éteint jour après jour ? La mémoire qui s'effiloche, le regard qui vacille. Une mère qui n'est plus là pour vous aider à avancer. Comment vivre quand la honte se mêle à la colère et à la peine face à la maladie d'Alzheimer qui frappe trop tôt ? Pourtant quand sa mère prononce son nom, Samuel se sent capable de déplacer des montagnes... |
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Jeanne BENAMEUR Ça t'apprendra à vivre Algérie 1958 : une famille se mure dans une violence muette, assourdissante comme celle d'un pays qui entre en guerre. Mi-arabes, mi-français, ils s'exilent en métropole où jamais ils ne retrouveront ni leur ciel ni leur place. C'est la cadette qui raconte et forge les souvenirs. |