Cornelia FRANZPascal LAURENTSylvia GEHLERT (Traducteur)Une piste qui mène à ChicagoÉpuiséTout public Tout avait changé.
Il ny avait
plus rien qui puisse me consoler.
Quelque part, plantée au plus
profond de moi, une épine ne cessait de raviver ma douleur :
je nétais quune enfant adoptée.
Je navais plus personne.
À part cette femme si pâle qui se tenait près de moi et
nosait pas me regarder dans les yeux.
Cette femme étaitma mère . Ma vraie mère.