Frida Kahlo non à la fatalité

Frida Kahlo  non à la fatalité

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Elsa SOLAL
François ROCA (Illustrateur)
Murielle SZAC (Directeur de collection)
Frida Kahlo non à la fatalité
Dès 12 ans


Son visage est connu dans le monde entier. Si Frida Kahlo est devenue une icône, ceux qui vénèrent aujourd’hui sa peinture aux couleurs vives ignorent souvent le combat acharné que cette femme hors du commun a mené contre la maladie et le handicap.

 

Années 1920, Mexico. Une petite fille de six ans atteinte par la poliomyélite refuse de se laisser enfermer. Malgré les “Frida la boiteuse” et autres quolibets, elle décide de se battre, de poursuivre ses études et de croquer la vie à pleines dents. À l’adolescence, la voici rattrapée par le destin ?: le bus dans lequel elle se trouve est percuté par un tramway. Une barre de métal la transperce de part en part, lui brisant la colonne, le bassin et les os. Mais cette acharnée de la vie ne renonce pas? : mieux, elle transforme son lit de douleur et d’immobilité en un espace de création artistique. Sous son pinceau, les couleurs vives vont éclater, face à son miroir les autoportraits vont se succéder et Frida Kahlo va renaître à nouveau. Toute la sensibilité et la fantaisie baroque de cette grande artiste se déploient au fil des pages sous la plume d’Elsa Solal en une formidable leçon de courage et d’optimisme.


Elsa Solal avait envie de porter un message d’espoir, de raconter à tous comment on peut surmonter la douleur physique, la maladie ou le handicap. Qui mieux que la grande artiste mexicaine et ses bleus saturés de lumière pouvait incarner le miracle de la vie ??

 

 


Elsa Solal dirige des ateliers d’écriture et enseigne à l’université de la Sorbonne Nouvelle, Paris-III. Elle est également auteur de scénarios pour la télévision ainsi que de récits et de pièces pour jeune public. Dans la collection “Ceux qui ont dit non”, on lui doit plusieurs ouvrages : Léonard Peltier : non au massacre du peuple indien, Angela Davis, non à l'oppression, Joséphine Baker : Non aux stéréotypes et Sarah Bernhardt, non aux conventions ainsi que deux nouvelles dans les collectifs Non à l’individualisme (2011) et Non à l’indifférence (2013). Elle vit à Paris.



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