Les héros oubliés T. 2

Les héros oubliés T. 2

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Gaël AYMON
Les héros oubliés T. 2
Les maîtres
Dès 11 ans


Une plongée au coeur des contes et légendes du Moyen Âge où les enchanteurs côtoient les bêtes légendaires, phénix, basilic ou Bayard, le cheval-fée, en même temps qu’un parcours initiatique.

 

Romain a accosté sur l’île perdue de Pyborrhée où il a pu faire connaissance de héros “en chair et en os” qui ont peuplé son enfance ! Car ce sont des mythes bien réels que l’adolescent doit affronter. Dans ce nouveau tome, il continue son exploration de l’île afin de sauver son parrain Gaius, prisonnier des Maîtres. Ces puissants dominent le lieu et ont le pouvoir de faire sombrer dans l’oubli les héros de légendes ou au contraire de renforcer leurs pouvoirs. Enchaînant les épreuves, Romain poursuit une quête plus personnelle : Qui est-il ? Un Veilleur comme son père, chargé de protéger les héros de l’oubli, ou un héros lui aussi ?

 

 

Pour en savoir plus sur l'univers des héros oubliés de Gaël Aymon :

Images : http://gaelaymon.tumblr.com/
Documentation : http://www.scoop.it/t/les-heros-oublies-i-ressources-documentaires
Index des légendes : http://gaelaymon.com/gaius/

 

 

Gaël Aymon en quelques mots :


Les auteurs avec qui j’aimerais dîner :
C’est déjà fait pour la plupart ! Sinon… Virginie Despentes ? Malorie Blackman ? Harper Lee ? Des auteurs dont la conversation serait susceptible d’être aussi (ou plus) intéressante que leurs livres, ce qui n’est pas forcément toujours le cas.


Les héros ou héroïnes de fiction que j’aimerais rencontrer :
Paul Atréides et sa mère (Dune, de Frank Herbert), un ou deux schtroumpfs (mais pas cent ! juste pour voir à quoi ils ressemblent en vrai !), Justin Quayle (The constant Gardner, de John le Carré, adapté au cinéma par Fernando Meirelles) ou Madame de Tourvel (Les Liaisons dangereuses, de Choderlos de Laclos) pour les réconforter, Baba Yaga (juste pour me faire peur !)… Mais, à vrai dire, la plupart des héros doivent être très ennuyeux dans la vie.
Les héros ou héroïnes de fiction que je n’aimerais pas croiser :
Martine et le Petit Prince (et surtout pas ensemble !). La fée du robinet et la sorcière de la rue Mouffetard, pour d’autres raisons.


Les musiques qui m’accompagnent dans l’écriture :
Différentes à chaque livre, selon les besoins de l’histoire ! Liszt et Prokofiev pour certains contes. Brel, Purcell, DJ Mad Dog pour certains romans ados. La BO d’Assassin’s creed IV pour certains passages du tome 1 des Héros Oubliés… Ce n’est jamais qu’un outil pour m’aider à trouver l’ambiance juste. Sinon, je préfère écrire en semi-silence, sur bruit de fond de rue ou d’un intérieur de wagon de train.


Le concert de ma vie :
Romeo et Juliette de Prokofiev par Rudolf Noureev à l’Opéra Bastille, dansé par Monique Loudières, il y a vingt ans et des poussières. Découverte inattendue de néophyte. Claque magistrale.


Les albums CD que je conseillerais les yeux fermés :
Je ne conseille jamais la musique que j’aime. Je me la garde égoïstement comme un plaisir solitaire.


Les films dont je ne me lasserai jamais :
Hélas, je me lasse même de mes préférés ! Les œuvres sont rattachées à des époques de la vie et vieillissent avec elles. Épouses et concubines (de Zhang Yimou) ou La Nuit du chasseur (de Charles Laughton) ont peut-être survécu à ce passage du temps par leur simplicité formelle. Je devrais vérifier !


Les héros et héroïnes de mon enfance :
Thémis et Noumaïos (Ulysse 31), Esteban et Zia, Fantômette et le Club des cinq, Philémon, Yoko Tsuno, les méchants de contes…


Le métier que j’aimerais faire dans une autre vie :
Musicien ? Danseur ? Astronaute ? J’ai du mal à me projeter dans une vie rêvée. Je n’ai jamais rêvé d’être auteur et je m’y trouve pourtant à ma place.


Le pays où je désirerais vivre :
La France me convient parfaitement (en tout cas, telle qu’elle est jusqu’à présent). Je n’ai pas du tout envie de vivre ailleurs.


Le mot que je préfère :
Je ne suis pas fétichiste de la langue. Oui, je sais, mes réponses ne sont pas drôles !

Le mot que je déteste :
Des expressions courantes, plutôt. Le déprimant et pessimiste “Bon courage” employé partout à la place d’“Au revoir”.

Ma devise :
Je ne détiens aucun secret, aucune formule magique.
Il faut prendre le voile, préserver son désir,
ne jamais s'en départir, rester bien à l'intérieur de soi.
Exiger autant de soi que des autres.
“Vigiler” pour les autres autant que pour soi.
Vouloir avec une inentamable opiniâtreté.
Être sa vérité.
Ne jamais perdre espoir.
Vouloir  recommencer.
Avoir peur mais avancer toujours.
(Barbara)



Depuis 2010, GAËL AYMON s’est tourné vers la littérature jeunesse après une expérience de comédien, scénariste, réalisateur et producteur. Auteur de contes, d’albums et de romans, dont cinq “Romans ado” Ma réputation, Oublier Camille, Mon âme frère et Les Héros oubliés (Tome 1 - Aux portes de l'oubli et Tome 2 - Les Maîtres) publiés aux éditions Actes Sud Junior. Il enseigne également le théâtre aux enfants et aux adolescents.

 

 

Photo Gaël Aymon © William Beaucardet



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